Réputation
et nouvelles formes de vulnérabilité: quelles sont les armes nécessaires pour anticiper et gérer les situations nouvelles auxquelles les organisations et
les personnes font face?
Paris, le 5 novembre 2012 – L’IPRA, International Public Relations Association,
dont le Président élu pour 2013 est le français Christophe Ginisty, et Syntec Conseil en
Relations Publics, l’organisation représentative du métier des RP, dont la
commission digitale présidée par Pascale Azria de l’agence KingCom relance ses
travaux sur l’impact des médias sociaux dans les stratégies de communication, ont décidé d’unir leurs forces pour organiser ensemble une conférence sur le
thème de la guerre de la réputation, ReputationWar.
Celle-ci se déroulera à Paris le vendredi 11 janvier prochain (lieu restant
à confirmer).
Un thème d’actualité
en constante évolution
L’explosion des médias et des réseaux sociaux a
contribué au développement de la diffusion de l’information et des conversations.
C’est au cœur de ces conversations que les
organisations et les personnes se retrouvent mécaniquement plus exposées en
face d’individus ou de communautés attentives et exigeantes qui commentent leurs moindres faits et gestes.
Demain, la gestion de la réputation se fera dans
un contexte agité. Les marques, les entreprises, les dirigeants et même le commun des mortels verront leur image scrutée, voire
malmenée par une opinion publique en quête de toujours plus de transparence et
d’éthique.
L’objectif de la conférence Réputation War
est de décortiquer ces phénomènes et de
donner aux participants les armes pour mieux anticiper et gérer ces nouvelles
situations.
Une problématique au cœur des préoccupations de tous les dirigeants
Cette conférence est destinée à tous ceux qui ont
à gérer la réputation d’une marque, d’une entreprise, d’une organisation
gouvernementale ou non gouvernementale mais aussi d’une personnalité, quelle que soit son territoire d’expression.
Elle est conçue tant pour les professionnels de
la communication que pour les dirigeants qui savent à quel point la qualité et la consistance d’une réputation font partie
intégrante du capital immatériel des organisations qu’ils dirigent.
L’accès à la conférence sera ouvert à tous
moyennant une participation de 50€ mais en nombre limité en raison des
contraintes liées aux capacités d’accueil du lieu qui sera choisi par les
organisateurs.
Un déroulement en
deux parties
La conférence ReputationWar se déroulera sur
toute la journée du vendredi 11 janvier 2013.
Le matin sera consacré à des interventions d’experts internationaux, d’auteurs,
issus du monde de la recherche, des entreprises ou de l’enseignement. L’après-midi sera
consacré à des ateliers qui permettront aux participants de travailler concrètement sur les
problématiques liées à la gestion de la réputation.
Un comité
d’organisation inédit
Outre les responsables de l’IPRA et les agences
adhérentes de Syntec RP volontaires, un comité d’organisation a été constitué
par des bénévoles qui se sont retrouvés ensemble à la suite d’un appel à candidature lancé par Internet sur le blog de Christophe Ginisty en septembre
dernier (lien). Celui-ci a permis de mobiliser une quinzaine de personnes fortement impliquées
sur les problématiques couvertes par la conférence et déterminées à investir
une partie de leur temps pour mener à bien ce projet.
Il était important de noter que l’énergie
fondatrice de cette organisation est née sur les médias sociaux et dans une
démarche d’accueil et d’ouverture.
-FIN-
A propos de l’IPRA (http://www.ipra.org/)
L’idée de créer une
association internationale des relations publics est née en 1949. L’objectif
principal de cette initiative était alors d’organiser les professions du métier en une association
transnationale qui élèverait les standards dans la pratique des relations publics dans de multiples pays ainsi que d’améliorer l’efficacité
et les compétences de ses praticiens.
C’est en 1955 que l’IPRA est officiellement crée
afin d’élever toujours plus les critères d’exigence de la profession et de lui
fournir un code de conduite éthique réfléchit. La responsabilité du métier
étant, aux yeux de l’IPRA, une problématique de premier ordre, l’organisation
non-gouvernementale constituée
d’individus a adopté un code éthique international inspiré des principes de la
Déclaration des Droits de l’Homme, le « Code d’Athènes ».
Aujourd’hui, l’IPRA est le plus grand groupe
international de professionnels des relations publics. Ses membres travaillent de concert à la création d’un programme de développement d’affaires ainsi qu’à
la croissance du rôle des RP dans la gestion
de dossiers internationaux.
Chaque année, l’IPRA met l’un de ses membres à
l’honneur en lui offrant la présidence annuelle de l’organisation, comme c’est le cas cette année avec Christophe Ginisty, Directeur Général Adjoint
de Edelman, ancien fondateur et dirigeant de l’agence RUMEUR PUBLIQUE.
C’est en partie pour marquer le début de cette présidence
française que la conférence ReputationWar est organisée.
Créé en 1988, SYNTEC Conseil en
Relations Publics est l’organisation représentative du métier de conseil en
relations publics. En 2012, le syndicat compte 40 des principales agences de conseil en relations
publics soit environ 1000 collaborateurs et 65% du marché qui partagent la même vision et la même déontologie dans la
pratique de leurs métiers au quotidien.
Ses adhérents sont des entreprises représentées par leurs dirigeants.
SYNTEC
Conseil en Relations Publics fait
partie de la Fédération Syntec qui représente aujourd'hui près de 65
milliards d'euros de CA et rassemble plus de 750 000 collaborateurs
à travers 2 000 groupes et sociétés françaises
spécialisés dans les professions de l'ingénierie, des services informatiques, des études et
du conseil, et de la formation professionnelle.
Les
professionnels des relations publics adhérents à SYNTEC Conseil en Relations
Publics partagent une même vision de leur métier : ce sont des « bâtisseurs de réputation ».
A travers la création de contacts utiles avec l’ensemble
des publics des entreprises, des marques et des produits, ils agissent sur l’opinion et construisent, pierre
par pierre, les socles de la bonne réputation.
La
dynamique interne de SYNTEC Conseil en Relations Publics repose ainsi sur la
volonté commune à tous ses adhérents de s’interroger sur leur métier, sur leur désir de le faire évoluer, de le voir
connu et reconnu pour ses spécificités, ses opportunités et ses limites… SYNTEC Conseil en Relations Publics constitue
de ce fait, pour chacun de ses membres, un incomparable lieu d’échanges et de
discussions. Concurrents, au quotidien, dans leur vie professionnelle,
ils évoluent au sein du Syndicat dans un esprit de
collégialité qui permet en permanence l’échange d’informations et le
partage des connaissances.
Les travaux de Syntec Conseil en Relations Publics
reposent sur cinq piliers :
1. Développer
ses relations avec les secteurs clients en initiant un certain nombre de
réflexions, notamment autour du digital, de la mesure des campagnes, du storytelling etc.
2. Représenter
la profession auprès des pouvoirs publics, des institutions
représentatives, des clients et des organisations professionnelles internationales.
3. Contribuer
au développement de la profession : formations initiales et continues,
codes de déontologie, certification, qualité, etc…
4.
Promouvoir les relations avec les publics et les agences adhérentes en France
et à l’étranger.
5. Défendre
les intérêts de la profession et de ses adhérents.
SYNTEC Conseil en Relations Publics est par ailleurs membre fondateur et la représentation française de l’ICCO
(International Communications Consultancy Organisation) qui regroupe des
associations ou syndicats nationaux de 29 pays. Les adhérents de l’ICCO poursuivent un triple objectif : développer le marché
international en renforçant l’influence auprès des institutions et au
niveau de la réflexion amont concernant les orientations politiques
internationales, assurer la présence des agences dans les Congrès et Sommets internationaux, et enfin
favoriser le networking pour les petites et moyennes structures.
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